Je suis Fanny Bouland. J’ai 32 ans et j’habite à Lyon depuis 13 ans. J’ai grandi à Lans en Vercors, au milieu des montagnes et de la forêt. J’aime le grand air, la natation, le yoga, la peinture, ma bicyclette et la musique. Je lis beaucoup et j’aime passer des heures en cuisine à concocter des bons petits plats en écoutant des podcasts sur des sujets de société. (Le féminisme en tête de liste car c’est lui qui sauvera le monde, j’en suis convaincue.)


J’adore les huîtres, le chocolat et le vin nature. J’apporte une attention particulière à la beauté, à l’esthétique. Après tout, je suis Balance.

Je suis passionnée de musique depuis mon plus jeune âge, j’ai commencé à pratiquer le piano à 10 ans que j’ai troqué contre une batterie dès que ma mère a accepté de transformer notre cave en local de répétition, à 14 ans. J’y ai eu mon premier groupe de punk rock / riot grrrls avec ma meilleure amie guitariste.

Désormais je suis musicienne professionnelle, je joue de la batterie, je chante et je compose avec différentes formations.


En parallèle, et avant que la musique ne m’apporte un certain confort (précaire il faut l’admettre) économique, j’ai fait des études de philosophie à l'Université Jean Moulin Lyon 3 après mon bac. J’ai ensuite déménagé à Montpellier pour y suivre un Master « Philosophie de l’Art et Psychanalyse » à l’université Paul Valéry.

Dès le départ, j’étais très intéressée par le dialogue entre la philosophie et la psychologie et j’étais frustrée face à la compartimentation des domaines et des savoirs que proposait l’université.

Ma porte d’entrée dans le domaine thérapeutique et relationnel a été la sophrologie et j’ai suivi une formation de deux ans à l’ IPEES Lyon avec Sandra Arnaud Gardair en 2014. J’ai poursuivi en 2016 avec une formation de Naturopathie à l’IFSH Lyon, avec un cursus réflexologie plantaire.


Bilan pédagogique de ces 4 années : nous sommes des êtres extrêmement complexes et perméables à l’environnement dans lequel nous vivons et par conséquent compartimenter le corps humain est contre productif !

Fanny Bouland portrait

J’ai passé les dernières années pré-covid en tournée, en enregistrement, et en voyage et je dois admettre que même si c’était génial, la pause imposée qui s’en est suivie, bien que tragique, m’a fait énormément de bien à un moment où je frisais le burn out et la dépression. C’était tout simplement trop.

Je connais le parcours du combattant qu’est celui des musicien.nes cherchant à se professionnaliser, surtout dans les musiques actuelles.


Tour à tour musicien.ne, tourneur.euse, manager.euse, routier.eres, directeur.rice artistique, comptable, attaché.e de presse, chargé.e de production et j’en passe, il est difficile de garder la tête hors de l’eau lorsque l’on doit porter toutes ces casquettes.

A cela s’ajoute la force et la confiance qu’il faut avoir pour préserver son estime de soi face aux retours parfois négatifs et violents (et illégitimes si vous voulez mon avis) de l’industrie musicale.

Pour cela, la sophrologie telle que je la conçois est un puissant outil. Combiné à la naturopathie parce que prendre soin de soi ne s’applique pas uniquement à son esprit, et nous avons là un accompagnement plutôt complet.

Qui du corps ou de l’esprit, nous ne le saurons peut-être jamais mais nous devons traiter les deux comme l’ensemble qu’ils forment.


Je souhaite, à travers ces deux outils et mon parcours de vie, proposer un accompagnement holistique à ceux qui pousseront la porte de mon cabinet (ou qui ouvriront leur lien zoom) !


Ma pratique prend en compte le corps, l’âme et l’esprit et s’adapte à chaque personne.

Fanny Bouland batterie groupe Irnini Mons

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